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la Chipouille
8 août 2011

DÉBOIRES et DÉLUGE sur l'AVENUE VERTE

dept76Nous connaissions l'avenue verte entre Dieppe et Neuchâtel en Bray et nous nous voulions profiter de notre séjour à proximité pour en découvrir la partie sud. Nous avons donc fait halte à Forges les Eaux, terminus de la piste actuelle sur le tracé de la voie de chemin de fer Paris-Dieppe.

Jeudi, la météo s'annonçait pluvieuse et grand bien m'a pris de faire une dernière sortie roller sur le plateau de Quiberville au réveil, car dès dix heures le déluge pour la journée et voyage derrière les essuie-glace.

76_A_rollerVendredi matin encore humide, nous avons reporté la découverte de la piste à l'après-midi. Quelques traces d'humidité sur un bon kilomètre car la voie était bordée d'arbres qui ont grandi au fil des ans, mais rien de grave. Puis deux plans inclinés en épingle à cheveux pour rejoindre une brève descente sur route où j'ai dû assurer le freinage pour deux, une piste pour remonter, un pont et encore une grande descente sur route. Là, c'était impressionnant pour une débutante et Monique a refusé de continuer, dommage car le contournement de la gare était quasiment terminé. Elle a eu bien du mal au retour, changeant en permanence de type de freinage sans beaucoup d'efficacité. Trois patineurs sont passés en trombe lui donnant quelques conseils qui sont restés lettre morte. Puis nous sommes allés voir la suite de la piste qui était tout à fait facile.

Samedi, la météo était encore hésitante le matin mais la radio et le journal étaient formels, éclaircies l'après-midi. Nous sommes donc partis avec le pique-nique, mais au-delà de la gare, comme prévu. Le crachin s'est amplifié à un moment et nous nous sommes abrités quelques minutes sous un arbre. Curieusement, un peu plus loin la piste était sèche. Pique-nique dans un petit village puis pause au bar où Monique devait la pluiem'attendre pendant que je faisais l'aller-retour jusqu'à Neuchâtel. Le ciel s'est brusquement assombri et j'ai dû m'abriter un bon moment à la sortie de la ville. Lorsque j'ai retrouvé Monique, qui était sortie un peu tôt elle avait pris l'averse elle aussi. Après 500 mètres de patinage en commun, le déluge. Les arbres ne nous protégeaient même plus et il a fallu se résoudre à parcourir les 6 kilomètres restants sous des trombes d'eau. Les cyclistes et un marcheur que nous avons rencontrés étaient aussi pitoyables que nous, piètre consolation. Il n'y a plus qu'à essuyer les roulements et les remplacer si....

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